Ici, il ne s'agit plus de théorie, de chiffres annoncés sur des des sites hardware mais de chiffres réels.
Avec la mise jour de mon PC en juillet 2016, et en particulier de la carte mère, je bénéficie d'une connectique M.2 Socket 3.
Cette connectique permet d’accueillir un module SSD Samsung Serie 950 PRO M.2 - 256 Go :
Ce genre de module est encore plus performant que ce SSD directement branché sur un port PCIe :
Pourquoi ?
Etre connecté sur un le bus PCIe ne fait pas tout.
En effet, le SSD G.Skill utilise une interface AHCI ancestrale qui gère les HDD classiques et les SSD qui utilisent le format SATA.
Au contraire, le module SSD Samsung, se base sur le NVMe, qui permet de profiter pleinement des possibilités offertes par le PCI-E.
L'interface AHCI est aujourd'hui rendue obsolète par la mémoire flash, dont le fonctionnement est très éloigné de celui des disques durs.
L'exemple le plus frappant des limitations du AHCI : son incapacité à gérer plus de 32 commandes, et ce, sur une file d'attente. Le NVMe, quant à lui, doit en théorie pouvoir gérer 65 536 instructions, sur 65 536 files d'attente.
Bref, l'interface AHCI conçue à l'époque où les SSD n'existaient pas encore n'est pas adaptée pour exploiter pleinement le potentiel des SSD.
Ce genre de SSD transforme radicalement l'utilisation d'un PC grâce à une réactivité quasi instantanée dans tous les domaines.
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Trois tests pour montrer les performances d'un disque SSD "PCIe et NVMe" à gauche, les performances d'un disque SSD "SATA" au centre et les performances d'un disque dur "classique" à droite :
Les différences de performances sous forme graphique :
Ces tests ne mettent en valeur que les vitesses de transfert déjà monstrueuses par rapport à un HDD classique.
A cela, il faut ajouter les temps d'accès divisés 100 par rapport à un HDD classique et les capacités du NVMe.
Avec la mise jour de mon PC en juillet 2016, et en particulier de la carte mère, je bénéficie d'une connectique M.2 Socket 3.
Cette connectique permet d’accueillir un module SSD Samsung Serie 950 PRO M.2 - 256 Go :
Ce genre de module est encore plus performant que ce SSD directement branché sur un port PCIe :
Pourquoi ?
Etre connecté sur un le bus PCIe ne fait pas tout.
En effet, le SSD G.Skill utilise une interface AHCI ancestrale qui gère les HDD classiques et les SSD qui utilisent le format SATA.
Au contraire, le module SSD Samsung, se base sur le NVMe, qui permet de profiter pleinement des possibilités offertes par le PCI-E.
L'interface AHCI est aujourd'hui rendue obsolète par la mémoire flash, dont le fonctionnement est très éloigné de celui des disques durs.
L'exemple le plus frappant des limitations du AHCI : son incapacité à gérer plus de 32 commandes, et ce, sur une file d'attente. Le NVMe, quant à lui, doit en théorie pouvoir gérer 65 536 instructions, sur 65 536 files d'attente.
Bref, l'interface AHCI conçue à l'époque où les SSD n'existaient pas encore n'est pas adaptée pour exploiter pleinement le potentiel des SSD.
Ce genre de SSD transforme radicalement l'utilisation d'un PC grâce à une réactivité quasi instantanée dans tous les domaines.
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Trois tests pour montrer les performances d'un disque SSD "PCIe et NVMe" à gauche, les performances d'un disque SSD "SATA" au centre et les performances d'un disque dur "classique" à droite :
Les différences de performances sous forme graphique :
Ces tests ne mettent en valeur que les vitesses de transfert déjà monstrueuses par rapport à un HDD classique.
A cela, il faut ajouter les temps d'accès divisés 100 par rapport à un HDD classique et les capacités du NVMe.